Pas trop envie de faire ma "pub". Découvrir au fil des messages ... Une vraie rencontre autour d'un café est encore mieux.
Un peu "taiseux", mais chaleureux et seul.
A suivre ...
Donc je suis (du verbe suivre, parce que être, je ne le suis que trop !)
Alors j'ai décidé d'y rajouter ça :
SOLITUDE, petite chaise abandonnée.
Un nouveau jour se lève, c'est la nuit, le sommeil s'envole, l'esprit papillonne de fugaces pensées. Elle est là, elle n'est pas là, mélange de rêve et de réalité.
Le chapeau de la cime est tombé dans l'abîme, il devait se prendre pour Icare...
Surfant sur une feuille tourbillonnante dans le vent de l'automne, elle arrive, il attend, rêve écarlate, éclaté, écartelé dans les filets inextricable de l'insoutenable issue qui approche inexpugnable et sans issue.
Paradoxe de l'issue sans issue qui s'en va en fumée, petits signaux de détresse, signaux de tendresse ....
Boomerang de la réalité, rêve éveillé, combat inutile et vain.
Accepter, accepter, abdiquer excessif.
Non, simplement arrêter de combattre l'inutile.
Simplement être là et ...
Et je ne sais pas,
inventer l'alpha et l'oméga ?
Délicate âme lointaine, un coup d'aile et l'âme est corps, le corps est âme, le corps est corps, tout s'embrouille, tout s'éclaire, ne pas lutter ...
Eléctron libre qui navigue de niveau d'énergie en niveau d'énergie, laminé par la Loi, rattrapé par l'entropie qui se meurt.
Illusion de liberté.
Soleil de son sourire initiatique, feux brûlants de son esprit qui perce l'âme.
Petite graine d'amour plantée.
Germe qui se fraye un chemin, qui s'effraye d'un chien qui aboie loin là-bas ...
Fragile rhizome...
Tour et détour, hésitation, tango... Danse langoureuse, corps à corps, sueur à sueur et plus rien.
Où es-tu ?
Pince à linge inutile, pauvre chaise abandonnée qui attend que tu viennes t'y poser, t'y reposer.
Petite graine d'amour qui navigue sur les flots du big bang, coup de tonnerre, éjaculation monstrueuse de poussière qui prend forme.
Envie de crier, d'expulser un cortège de mots sans suite, insensés, porteurs de sens, qui ne savent pas dire l'indicible.
Avancer aveugle vers la lumière.
Te voilà encore papillon ? Un coup d'aile qui brasse l'air, infime tressaillement la terre tourne inlassable...
Tisser la trame du drame, flux, reflux, respiration monstrueuse de la vie.
Mêler nos souffles.
De nos larmes, une source de vie...
De nos âmes ? ...
Et dans le ventre, il y a quoi ? Des boyaux ? Oui, non.
Sauce aigre douce des sentiments ...
Frayeur de vivre, anneau de Moëbius, arpenter sans fin.
Envie d'arrêter, envie de repos. Le guerrier ne veut plus combattre... Désespoir
Et puis, je t'ai vue, je t'ai reconnue %u2026
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