%u201CÀ l%u2019aube de mes soixante-huit années, je chemine avec sérénité sur le sentier du temps, riche de mes émerveillements, de mes deuils, et de mes recommencements.
Je ne cherche point à combler un vide, mais à partager un trop-plein d%u2019âme. La solitude ne me pèse guère, elle me polit. Mais si un c%u0153ur voisin résonne à la même fréquence, alors peut-être naîtra une complicité aux nuances subtiles.
Je suis un homme pudique mais entier, porté par la ferveur des choses simples : un crépuscule dilué dans le thé, une conversation qui creuse les silences, un regard qui ne cherche pas à séduire mais à comprendre. Mon langage est parfois un peu arborescent, nourri de lectures, d%u2019intuitions, de silences habités.
Je ne suis ni dans la performance, ni dans la parade. J%u2019aspire à une relation fondée sur l%u2019authenticité, la décence affective et l%u2019élégance du lien. Un lien sans chaînes, mais avec racines.
J%u2019avoue une inclination profonde pour les femmes intelligentes et instruites non par snobisme, mais parce qu%u2019une pensée vive, libre et nuancée me touche plus sûrement que mille artifices. J%u2019admire celles dont la beauté se prolonge dans les idées, les mots choisis, les rêves lucides. Une femme qui pense, c%u2019est un monde que je désire explorer sans hâte.
Alors si vous êtes de celles qui savent écouter le monde derrière le vacarme, rire de bon c%u0153ur mais aussi penser à contre-courant, peut-être pourrions-nous marcher un bout de chemin, côte à côte, à l%u2019ombre de nos lucides espérances.%u201D
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